S'envoler..Pour une raison..

Publié le par BlueAngel

 

 

 

Elle voudrait s'envoler

Pour mille et une raisons

Les milles raisons ne sont qu'oublier

Son chemin sans destination

L'autre raison est de se laisser guider

Par des ailes qui la mèneront

Juste pour les essayer

Et réaliser qu'elle vit pour une raison..

 

 

 

 

Publié dans Caprices

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A
Ange Diurne
16/03/2007 01:03
La grâce, le don, mon sang, ma passion, elle est le souffle et la quête, mon éternité et ma lumière. Elle est ... Lettre !
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C
Coeur Brisé
14/03/2007 23:09
Il y a un lieu que je préfère sur cette terre, une île, un rêve, <br /> ce paradis c'est mon enfer.<br /> L'amour, pays imaginaire pour coeur bigots et esprits libertaires, oasis dans le désert, mirage et diamant vert,<br /> ce paradis c'est mon enfer !
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C
Coeur Brisé
13/03/2007 22:55
Quelqu'un,<br /> je cherche quelqu'un.<br /> Plus qu'un corps,<br /> je veux une âme.<br /> Un soutient,<br /> je recherche un soutient.<br /> Jusqu'à la mort ... je veux l'âme.
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A
Arthur RIMBAUD
25/12/2006 20:11
Ma Bohème (.Fantaisie)<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> Je m'en allais, les poings dans mes poches crevées ;Mon paletot aussi devenait idéal ;J'allais sous le ciel, Muse ! et j'étais ton féal ;Oh ! là là ! que d'amours splendides j'ai rêvées ! Mon unique culotte avait un large trou.- Petit-Poucet rêveur, j'égrenais dans ma courseDes rimes. Mon auberge était à la Grande Ourse.- Mes étoiles au ciel avaient un doux frou-frou Et je les écoutais, assis au bord des routes,Ces bons soirs de septembre où je sentais des gouttesDe rosée à mon front, comme un vin de vigueur ; Où, rimant au milieu des ombres fantastiques,Comme des lyres, je tirais les élastiquesDe mes souliers blessés, un pied près de mon coeur ! <br /> Arthur Rimbaud<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> - Texte du recueil confié à Paul Demeny, fac-similé Messein.- Première publication dans La Revue indépendante, janvier-février 1889.<br /> <br /> <br /> <br />
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P
Paul Verlaine
23/12/2006 14:26
A Clymène<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> Mystiques barcarolles,Romances sans paroles,Chère, puisque tes yeux,Couleur des cieux,Puisque ta voix, étrangeVision qui dérangeEt trouble l'horizonDe ma raison,Puisque l'arôme insigneDe ta pâleur de cygne,Et puisque la candeurDe ton odeur,Ah ! puisque tout ton être,Musique qui pénètre,Nimbes d'anges défunts,Tons et parfums,A, sur d'almes cadences,En ses correspondancesInduit mon coeur subtil,Ainsi soit-il ! <br /> <br /> <br /> <br />
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